Conditions Générale VO

  1. COMMANDE : La présente commande du véhicule désigné sur le Bon de Commande est ferme et définitive, et concerne exclusivement ce véhicule. La responsabilité du véhicule vendu est transférée à l’acquéreur dès la délivrance, mais la propriété lui est acquise qu’après paiement complet du prix en principal, frais et accessoire.
  2. ENGAGEMENTS DE L’ACQUEREUR : Une commande ferme et définitive n’est susceptible ni de modification ni d’annulation sous réserve de l’exercice d’un droit de rétraction prévu à l’article V et ou d’annulation prévu à l’article IX. Dès la livraison du véhicule, l’acheteur prend à sa charge tous risques de perte et de détérioration. Il s’engage à effectuer les démarches d’immatriculation du véhicule et d’obtention du certificat d’immatriculation dans le délai d’un mois à compter de la date inscrite sur le certificat de cession, et avoir souscrit une police d’assurance garantissant notamment sa responsabilité civile automobile. 

III. INFORMATION A L’ACQUEREUR : le Bon de Commande comporte (1) la dénomination de vente, (2) le mois et l’année de la 1ère mise en circulation, (3) le kilométrage total parcouru ou non garanti, (4) le prix est indiqué toutes taxes comprises et séparément le coût détaillé des prestations payantes supplémentaires, (5) la date limite de livraison et (6) le mode de financement : « au comptant » (sans crédit) ou « à crédit » (par un organisme de crédit). Dans le cas de recours à un crédit, la vente est subordonnée au prêt et le consommateur dispose d’un délai de rétractation de 14 jours après signature de l’offre préalable de crédit (C. conso, Art. L. 311-36 et L. 311-12).

  1. LIVRAISON : L’établissement vendeur livrera le véhicule commandé au lieu et à la date indiquée sur le Bon de Commande. Le délai convenu pourra être prolongé, au bénéfice du client ou de l’établissement vendeur, en cas de force majeur. Dans ce cas, le véhicule sera livré dans les meilleurs délais et dans le même état précédant la survenance de l’événement insurmontable.
  2. VENTE HORS ETABLISSEMENT : L’acquéreur dispose d’un délai de quatorze jours pour exercer son droit de rétractation, sans avoir à motiver sa décision lorsque le véhicule a fait l’objet d’une vente hors établissement (C. conso., art. L. 221-18). Le jour où le contrat est conclu ou le jour de la réception du bien n’est pas compté dans le délai de rétractation. Le délai commence à courir au début de la première heure du premier jour et prend fin à l’expiration de la dernière heure du dernier jour du délai. Si ce délai expire un samedi, un dimanche ou un jour férié ou chômé, il est prorogé jusqu’au premier jour ouvrable suivant.
  3. DOCUMENTS NECESSAIRES A L’IMMATRICULATION : L’établissement vendeur fournit à l’acquéreur les documents nécessaires à l’utilisation du véhicule : (1) un certificat de déclaration de cession, (2) le certificat d’immatriculation barré et portant la mention « cédé ou vendu le … » suivie de la signature du vendeur, (3) un certificat de non-opposition au transfert du certificat d’immatriculation, (4) un certificat de gage ou de non-gage datant de moins d’un mois, (5) un certificat de contrôle technique datant de moins de 6 mois s’il y a lieu et (6) éventuellement un certificat de garantie commerciale le cas échéant.

VII. CONTRÔLE TECHNIQUE : Préalablement à la conclusion du contrat de vente, pour tout véhicule de plus de 4 ans, un procès-verbal de contrôle technique est remis au futur acquéreur. Il est établi depuis moins de 6 mois. Il est précisé sur le Bon de Commande la date de remise de ce document.

Le procès-verbal informe l’acquéreur avant la vente sur l’état des organes de sécurité du véhicule. Il ne porte que sur certains points de contrôle (châssis, suspension, essieux, direction, freinage, éclairage, roues, carrosseries, équipements).

VIII. CONTRÔLE DE SECURITE : Le vendeur s’engage, vis-à-vis de son client, à effectuer un contrôle de sécurité portant sur les organes dont la défectuosité risquerait de provoquer des accidents. Les vérifications et, s’il y a lieu les remises en état concernent les amortisseurs et les organes de suspension, les organes de direction, le système de freinage, les pneumatiques. D’une manière générale, le vendeur devra contrôler et s’assurer de la conformité du véhicule aux prescriptions du Code de la Route.

  1. ANNULATION / RESOLUTION : Par dérogation à l’article I et II, l’acquéreur est en mesure d’annuler sa commande lorsque l’achat du véhicule est subordonné à l’obtention d’un prêt et que celui-ci est refusé par l’établissement financier dans un délai raisonnable ou que l’emprunteur se rétracte auprès de l’établissement financier dans les conditions prévues par le Code de la consommation. Un délai peut également être convenu entre l’établissement vendeur et l’acquéreur pour réserver le véhicule. Ce délai de réservation doit être expressément convenu sur le Bon de Commande. 

En cas de manquement du vendeur à son obligation de livraison du véhicule à la date convenu ou au plus tard trente jours après la conclusion du contrat, l’acquéreur peut résoudre le contrat, par lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou par un écrit sur un autre support durable, si, après avoir enjoint, selon les mêmes modalités, le vendeur d’effectuer la livraison dans un délai supplémentaire raisonnable, ce dernier ne s’est pas exécuté dans ce délai. Le contrat est considéré comme résolu à la réception par le vendeur de la lettre ou de l’écrit l’informant de cette résolution, à moins que le vendeur ne se soit exécuté entre-temps.

Néanmoins, l’acquéreur peut immédiatement résoudre le contrat lorsque le vendeur refuse de livrer le véhicule ou lorsqu’il n’exécute pas son obligation de livraison du véhicule à la date convenue. En cas de défaut de paiement de l’acquéreur, l’établissement vendeur peut refuser d’exécuter ou suspendre la livraison du véhicule, poursuivre l’acquéreur en paiement forcé, solliciter un dédommagement financier dûment justifié ou annuler la commande de plein droit après une mise en demeure par lettre recommandée restée infructueuse dans un délai de 15 jours à compter de sa réception. Dans tous les autres cas la commande et ferme et définitive.

  1. DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL : Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978, l’acquéreur bénéficie d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui le concernent. Si l’acquéreur souhaite exercer ce droit et obtenir communication des informations le concernant, il doit s’adresser au siège social de l’établissement vendeur. Il peut également, pour des motifs légitimes, s’opposer au traitement des données le concernant.
  2. CONTESTATION : Les CGV sont soumises au droit français. Tout litige découlant de la validité, l’interprétation ou l’exécution de l’une quelconque des dispositions des CGV relèvera de la juridiction naturellement compétente. Cependant si l’acheteur est un consommateur au sens du Code de la consommation, il a la possibilité de requérir, en cas de contestation, à une procédure de médiation conventionnelle ou tout autre mode alternatif de règlement des litiges

XII. GARANTIE : Le véhicule faisant l’objet du présent contrat est garanti, par le vendeur à l’acheteur, pour toutes les conséquences des vices cachés suivant les termes du Code Civil. Cette garantie légale s’applique indépendamment de toute garantie commerciale. 

Le véhicule bénéficie également d’une garantie contractuelle minimale, pièces et main-d’œuvre, de 6 mois sur les organes de sécurité, tels que définis à l’article VI, à l’exception des pneumatiques.

Si le véhicule bénéficie d’une garantie contractuelle complémentaire, celle-ci est mentionnée sur le Bon de Commande et ses conditions sont précisées dans le carnet de garantie remis à l’acheteur lors de la livraison du véhicule. La durée totale de la garantie contractuelle ainsi accordée, (garantie contractuelle minimale + garantie contractuelle complémentaire) est mentionnée au recto du bon de commande.

Lorsque l’acheteur demande au vendeur, pendant le cours de la garantie commerciale qui lui a été consentie lors de l’acquisition ou de la réparation d’un bien meuble, une remise en état couverte par la garantie, toute période d’immobilisation d’au moins sept jours vient s’ajouter à la durée de la garantie qui restait à courir. Cette période court à compter de la demande d’intervention de l’acheteur ou de la mise à disposition pour réparation du bien en cause, si cette mise à disposition est postérieure à la demande d’intervention (C. conso. Art. L. 211-16).

Le consommateur bénéficie d’un délai de deux ans à compter de la délivrance du bien pour agir ; il-peut choisir entre la réparation ou le remplacement du bien, sous réserve des conditions de coût prévues par l’article L. 211-9 du code de la consommation ; il est dispensé de rapporter la preuve de l’existence du défaut de conformité du bien durant les six mois suivant la délivrance du bien. Ce délai est porté à vingt-quatre mois à compter du 18 mars 2016, sauf pour les biens d’occasion.

Annexe à l’article D.211-2 du Code de la consommation :

Le consommateur dispose d’un délai de deux ans à compter de la délivrance du bien pour obtenir la mise en œuvre de la garantie légale de conformité en cas d’apparition d’un défaut de conformité. Durant ce délai, le consommateur n’est tenu d’établir que l’existence du défaut de conformité et non la date d’apparition de celui-ci.
Lorsque le contrat de vente du bien prévoit la fourniture d’un contenu numérique ou d’un service numérique de manière continue pendant une durée supérieure à deux ans, la garantie légale est applicable à ce contenu numérique ou ce service numérique tout au long de la période de fourniture prévue. Durant ce délai, le consommateur n’est tenu d’établir que l’existence du défaut de conformité affectant le contenu numérique ou le service numérique et non la date d’apparition de celui-ci.
La garantie légale de conformité emporte obligation pour le professionnel, le cas échéant, de fournir toutes les mises à jour nécessaires au maintien de la conformité du bien.
La garantie légale de conformité donne au consommateur droit à la réparation ou au remplacement du bien dans un délai de trente jours suivant sa demande, sans frais et sans inconvénient majeur pour lui.

Si le bien est réparé dans le cadre de la garantie légale de conformité, le consommateur bénéficie d’une extension de six mois de la garantie initiale.
Si le consommateur demande la réparation du bien, mais que le vendeur impose le remplacement, la garantie légale de conformité est renouvelée pour une période de deux ans à compter de la date de remplacement du bien.
Le consommateur peut obtenir une réduction du prix d’achat en conservant le bien ou mettre fin au contrat en se faisant rembourser intégralement contre restitution du bien, si :
1° Le professionnel refuse de réparer ou de remplacer le bien ;
2° La réparation ou le remplacement du bien intervient après un délai de trente jours ;
3° La réparation ou le remplacement du bien occasionne un inconvénient majeur pour le consommateur, notamment lorsque le consommateur supporte définitivement les frais de reprise ou d’enlèvement du bien non conforme, ou s’il supporte les frais d’installation du bien réparé ou de remplacement ;
4° La non-conformité du bien persiste en dépit de la tentative de mise en conformité du vendeur restée infructueuse.
Le consommateur a également droit à une réduction du prix du bien ou à la résolution du contrat lorsque le défaut de conformité est si grave qu’il justifie que la réduction du prix ou la résolution du contrat soit immédiate. Le consommateur n’est alors pas tenu de demander la réparation ou le remplacement du bien au préalable.
Le consommateur n’a pas droit à la résolution de la vente si le défaut de conformité est mineur
Toute période d’immobilisation du bien en vue de sa réparation ou de son remplacement suspend la garantie qui restait à courir jusqu’à la délivrance du bien remis en état.
Les droits mentionnés ci-dessus résultent de l’application des articles L.217-1 à L. 217-32 du code de la consommation.
Le vendeur qui fait obstacle de mauvaise foi à la mise en œuvre de la garantie légale de conformité encourt une amende civile d’un montant maximal de 300 000 euros, qui peut être porté jusqu’à 10 % du chiffre d’affaires moyen annuel  (article L.241-5 du code de la consommation).
Le consommateur bénéficie également de la garantie légale des vices cachés en application des articles 1641 à 1649 code civil, pendant une durée de deux ans à compter de la découverte du défaut. Cette garantie donne droit à une réduction de prix si le bien est conservé ou à un remboursement intégral contre restitution du bien.

 

Conditions Générales de Vente Réparation

I. DEVIS ET ORDRE DE REPARATION

1.1 Devis. Sur demande du Client, le Réparateur établi un devis des réparations à effectuer sur le véhicule. Ce devis peut nécessiter le démontage de certaines pièces et/ou des opérations d’expertise. Le cas échéant, le devis est payant. Le devis détaillera le prix des pièces et de la main d’œuvre ainsi que le temps estimé pour réaliser les travaux. Sauf accord écrit des parties, le montant du devis ne comprend pas les frais occasionnés par le dépannage et l’acheminement du véhicule jusqu’aux ateliers du Réparateur.

1.2 Ordre de réparation. Avant le début des travaux, le Réparateur procédera à l’établissement d’un ordre de réparation qui indique la nature des travaux à réaliser, le coût prévisionnel, la date de début des travaux et le délai d’immobilisation prévisionnel. Le Réparateur consignera également l’état apparent du véhicule, son kilométrage ainsi que toute autre observation utile. La signature de l’ordre de réparation par le Client vaut consentement par ce dernier à l’application des présentes conditions générales de réparation ainsi qu’acceptation de l’ensemble des conditions et observations indiquées sur l’ordre de réparation.
Si lors du déroulement des travaux, il apparaît nécessaire d’effectuer des opérations complémentaires, le Réparateur émettra un avenant à l’ordre de réparation qu’il soumettra au Client pour accord.

II. PIÈCES DE RECHANGE

2.1 Pièce d’origine / PIEC. Conformément à la règlementation en vigueur, le Réparateur permettra au Client d’opter pour l’utilisation de pièces issues de l’économie circulaire. Le cas échéant, le Réparateur indiquera au Client si la pièce de rechange nécessaire pour effectuer les travaux est éligible, le délai de disponibilité et son prix. Tout refus de vendre une PIEC devra être dûment motivé par le Réparateur. A défaut de PIEC, tout pièce de rechange doit être d’origine ou de qualité équivalente.

2.2 Pièces remplacées. Le Client peut voir les pièces remplacées s’il en a fait la demande sur l’ordre de réparation ou au plus tard au moment de la restitution du véhicule. Ces pièces pourront lui être restituées à l’exception des PIEC ou des pièces sous garantie. Les pièces non réclamées au moment de la restitution ne seront pas récupérables par le Client, elles deviennent la propriété du Réparateur.

2.3 Pièces fournies par le Client. Le Réparateur est libre d’accepter ou de refuser de monter des pièces fournies par le Client dès lors qu’il estime que la qualité de la pièce n’est pas satisfaisante. Lorsqu’il l’accepte, mention en sera faite sur l’ordre de réparation ou sur la facture correspondante avec indication des pièces fournies. Si une avarie est provoquée par la défectuosité de l’une de ces pièces fournies par le Client, la responsabilité du Réparateur ne saurait être engagée.

III. RESTITUTION DU VEHICULE

3.1 Date de restitution / Frais de gardiennage. La date de mise à disposition du véhicule est celle indiquée sur l’ordre de réparation (dernier ordre de réparation établi en cas de travaux supplémentaires).
Si le Client ne vient pas récupérer son véhicule dans les 48 heures qui suivent la date de restitution de son véhicule, et sauf accord exprès du Réparateur, des frais de gardiennage seront facturés au Client au tarif journalier affiché dans le garage.

3.2. Réserves. Le Réparateur mentionnera par écrit les anomalies dont il aurait eu connaissance et qui n’auront pas fait l’objet d’un ordre de réparation et invitera le Client à remédier à celles affectant la sécurité du véhicule. En cas de refus de la part du Client, celui-ci signera une attestation selon laquelle ce dernier récupère son Véhicule en connaissance de cause en ne faisant pas la réparation préconisée. A défaut de signature
par le Client, le Réparateur aura la faculté de prendre toutes mesures nécessaires à la sauvegarde de ses intérêts.

IV. PAIEMENT

4.1 Délai de paiement. Toutes les réparations ou prestations sont payables auprès du Réparateur au comptant à l’enlèvement du véhicule, sauf dérogation particulière.

4.2 Intérêts de retard. Si le Client est un professionnel agissant dans le cadre de son activité professionnelle : en cas de dépassement du délai de paiement, le Réparateur peut réclamer des intérêts de retard au taux de base de trois (3) fois le taux d’intérêt légal en vigueur en France, ainsi que le paiement de l’indemnité forfaitaire légale d’un montant de 40 euros, correspondant aux frais de recouvrement, ou d’une indemnité supérieure, si cette majoration se justifie et ce nonobstant le droit du Réparateur de demander réparation de tout autre préjudice.

4.3 Rétention. En application de l’article 1948 du Code civil, le Réparateur peut retenir le véhicule jusqu’au paiement intégral de la facture.

V. TRAVAUX PRIS EN CHARGE PAR UNE ASSURANCE

5.1 Principe. Le Réparateur est tiers à toute contestation, quel qu’en soit l’objet, pouvant survenir entre le Client ayant commandé des travaux sur son véhicule et sa compagnie d’assurance.
Le Client demeure seul et directement responsable du paiement total de la facture, peu importe que le coût des travaux soit pris en charge totalement ou partiellement par son assurance. A cet effet, le Réparateur peut demander au Client de signer l’ordre de réparation au même titre que l’assurance.

VI. RESPONSABILITE ET GARANTIES

6.1. Obligation de conseil. En tant que professionnel de la réparation automobile, le Réparateur est tenu d’une obligation de conseil et de résultat.

6.2. Exécution des travaux. Le réparateur est tenu d’exécuter les travaux qui sont prévus dans l’ordre de réparation. Sa responsabilité peut être engagée en cas d’inexécution, d’exécution incomplète ou d’exécution défectueuse des travaux. 

6.3. Garanties légales. Le Client consommateur bénéficie en tout état de cause des garanties légales (conformité et vices cachés) dans le respect des conditions qui les régissent.

Garantie légale de conformité. Conformément aux dispositions des articles L. 217-7 et suivants du Code de la consommation, le Réparateur garantit la conformité des pièces de rechange visées à l’article 2.1 aux spécifications du véhicule. Il garantit que l’installation des pièces de rechange est exécutée dans le respect des préconisations du constructeur et dans les règles de l’Art. L’action en garantie de conformité se prescrit par deux ans à compter de la restitution du véhicule. Lorsqu’il y a défaut de conformité, le Réparateur procédera à ses seuls frais au remplacement de la pièce de rechange concerné et à la réparation des défauts.
Garantie de vices cachés. Conformément à l’article 1641 du Code civil, le Réparateur garantit qu’au moment de la restitution du véhicule, les pièces de rechange visées à l’article 

2.1 sont exemptes de tout vice caché rendant la pièce inutilisable ou diminuant fortement l’usage du véhicule.
Le Réparateur n’est pas tenu des vices apparents et dont le Client a pu se convaincre lui même. Pour être valide, toute action au titre de la garantie de vices cachés doit être engagée dans un délai de deux ans à partir de la découverte du vice.

6.4 Exclusion de garantie. La clause de garantie ne couvre pas les détériorations
provenant d’une usure normale, d’une utilisation non conforme des pièces ou du véhicule par rapport à leur usage ou des préconisations du constructeur, du Réparateur ou de la réglementation en vigueur, d’une négligence ou d’un défaut de surveillance de l’utilisateur (p.ex. détérioration des pièces non signalée à temps au Réparateur), du défaut d’entretien des pièces, des interventions réalisées par des personnes non professionnelles et qualifiées, ou en cas de force majeure. Le Réparateur n’est responsable que des accessoires et appareils fixés au véhicule. Le Client est tenu de retirer ses effets personnels du véhicule confié.

VII. FORCE MAJEURE

7.1 L’obligation d’exécuter les travaux est suspendue de plein droit et sans formalité et, de manière générale, la responsabilité du Réparateur est dégagée en présence d’un cas de force majeure conformément à l’article 1195 du Code civil et de la jurisprudence en vigueur.

VIII. PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES

8.1 Principe. Le Client est informé que les données personnelles recueillies sur l’ordre de réparation sont susceptibles de faire l’objet de traitements automatisés nécessaires à l’exécution du contrat. Le responsable de ce traitement est le Réparateur. Ces données seront enregistrées et sauvegardées le temps nécessaire à l’exécution du contrat à l’exception de certaines données soumises à des prescriptions légales (p.ex.
données de facturation, comptabilité, garantie contractuelle et légale). Ces données seront archivées dès lors qu’elles ne sont plus utilisées.

8.2 Droit d’accès. Conformément à la réglementation applicable en matière de données à caractère personnel, le Client dispose d’un droit d’accès, de rectification, d’opposition, de limitation du traitement, d’effacement et de portabilité de ses données. Si le Client souhaite exercer ces droits, il doit contacter le Réparateur dont les coordonnées figurent sur l’ordre de réparation en précisant son nom, prénom, adresse et en justifiant de
son identité par tout moyen.

8.3 CNIL. Le Client dispose également du droit d’introduire une réclamation auprès de l’autorité de contrôle, la CNIL (Commission Nationale Informatique et Libertés), à l’adresse postale suivante : 3 place Fontenoy 75007 Paris
https://www.cnil.fr/fr/agir

IX. LITIGES

9.1 Réclamation écrite. En cas de réclamation relative à l’exécution du présent contrat, le Client consommateur doit dans un premier temps s’adresser par écrit au Réparateur.

9.2. Tribunal compétent. A défaut d’accord à l’amiable, le Tribunal compétent est celui dont dépend le siège social du Réparateur si le Client est un professionnel. Si le Client est un particulier, le choix du Tribunal compétent se fera conformément à la loi.

9.2 Médiation. En application des articles L. 616-1 et R. 616-1 du Code de la consommation, dès lors qu’un litige n’a pas pu être réglé dans le cadre d’une réclamation préalablement introduite auprès du Réparateur, le Client a la possibilité de recourir à un dispositif de médiation de la consommation en vue de la résolution à l’amiable de tout éventuel litige en lien avec la prestation de réparation. L’organisme de médiation
compétente est Mobilians. Le client consommateur peut saisir le Médiateur de Mobilians : – soit directement en ligne sur son site internet : www.mediateur-mobilians.fr ; – soit en remplissant un formulaire de saisine téléchargeable sur le site du médiateur et en l’adressant au médiateur par courrier à M. le Médiateur de Mobilians 43 bis route de Vaugirard – CS 80016 – 92197 Meudon CEDEX ; – soit par courriel à : mediateur@mediateur-mobilians.fr